LAMPLE – AUTEUR

Image de couverture

CARROUSEL, le livre 9 : Le Pont du Diable

“Satan aurait-il décidé d’en finir avec l’humain Hans Jacob ?…
C’est ce qu’il va être porté à croire après les événements malheureux dont il va être le témoin, voire la victime”

Alors simple vengeance d’un Diable à l’encontre un mortel un peu encombrant ? Ou bien serait-ce seulement sa jolie Bête, gardienne des enfers, jalouse des avances de l’étudiante du troisième ?


Comment le savoir ? Il devient impératif pour notre héro de prendre contact avec sa Bête parce que, dans tous les cas, un terrible règlement de compte se profile !”

Le Pont du Diable est l’avant dernier tome de la série CARROUSEL. Nous découvrirons Satan sous un jour nouveau : ne supportant plus les frasques et ses aventures avec son… petit copain, il a décidé d’en finir.

Voici le point culminant de la saga CARROUSEL : malgré de vains appels à l’aide à Dieu en personne, tout semble accompli pour la Bête qui ne sera plus Bête des enfers. Mais alors quoi ?…

À-propos de la série Carrousel, c’est ICI.  Disponible en version Kindle et livre broché.

Le pont du Diable sur Amazon c’est ici

Le Pont du Diable ?

Il existe, il en existe d’ailleurs un peu partout où il y a des hommes… Satan oblige !

La couverture représente celui qui trônait majestueusement au fond du Valais (Suisse) dans sa première version de 1595 après des siècles d’un ouvrage en bois commencé en 1230. Cet ouvrage en pierre n’existe plus, on en voit quelques moellons encore scellés sous le deuxième ouvrage (le pont au premier plan sur la photographie).

Le pont du Diable en Suisse

Depuis, ont été construit —outre le second pont maintenant exclusivement piéton—, un pont à usage des chemins de fer (au fond sur l’image), et un nouveau pont routier bien plus haut que ces deux autres et invisible ici.

Ceci nous fait 4 ouvrages dans cette masse majestueuse (voire 5 si on compte le premier en bois).

J’ai eu le privilège d’une longue visite de ce site. J’ai pris mon temps pour parcourir l’ouvrage, prendre des photographies, des prises de notes, humer l’atmosphère du lieu et me laisser envahir de cette ambiance. Tout ceci m’a bien aidé pour la rédaction du chapitre essentiel du livre (Il ponte del Diavolo). Je dois dire que ça a été un réel bonheur de décrire ce lieu magnifique sur le papier.

Par ailleurs, j’ai pris énormément de plaisir à écrire le scénario de ce chapitre, les dialogues sur ce pont, l’intrigue et son dénouement. Entre l’homme et Satan, sur le Pont du Diable va se tenir un échange épique et essentiel sur lequel j’ai beaucoup travaillé.

Écriture

Oui, mon écriture et mon style se sont encore améliorés. J’ai beaucoup lu, rempli des carnets de notes dans le but d’analyser et comprendre comment d’autres auteurs ont fait pour leur roman. J’ai beaucoup travaillé mes descriptions, ainsi que les motivations des âmes.

J’avoue que, avec le Pont du Diable,  j’ai beaucoup progressé dans l’art de l’écriture, tâche sans fin s’il en est.

Ceci étant, je suis resté sur une ligne fidèle qui me caractérise :

  • La richesse de l’écriture (vocabulaire, grammaire), c’est à dire que j’aime les jolis mots, les belles tournures ; si l’histoire doit être jolie, le texte doit l’être encore plus… (corollaire : si l’histoire ne doit pas être belle, inutile de l’écrire, même avec de jolis mots)
  • Un style très coulé et parlé (d’ailleurs que je déclame moi-même quand je l’écris) alors tant pis si on n’aime pas les longues phrase.

J’avoue que, dans le chapitre III (Il ponte del Diavolo), j’ai flirté avec une construction très “shakespearienne” du dialogue (Jules César que j’ai lu dans ma jeunesse). Au début de l’écriture de ce chapitre, c’était un simple essai, et puis ça m’a plus, alors je l’ai gardé.

Vous me direz ce que vous en pensez !

 Le Paradis

Eh oui, ils y vont… et il le fallait puisque, comment parler des enfers si, à l’opposé, on ne devait pas parler du paradis ?

J’avais sans cesse repoussé cette échéance d’une “rencontre avec Dieu” et tous les tomes précédents n’ont jamais proposé de traiter de ce thème. le Tome IX était la dernière limite puisque dans le X, la chose était résolue.

Donc voilà nos héros au Paradis.

J’avoue, mes croyances et convictions religieuses ont guidé ma plume. J’ai mis au Paradis ce que je pense y être tout en prenant soin de construire un “château de cartes romanesque ” qui tienne la route.

J’espère que le résultat est à la hauteur. En tout cas, les chapitres en question (La porte du Paradis) et le suivant (Golgotha), loin d’apporter des réponses, laissent ouverte l’intrigue de la fin du roman, ouf !

La couverture

L’image source est : Fichier:Peter Birmann – The Devil’s Bridge in the Schöllenen Gorge on the Way across the St. Gotthard Pass with a Mule Train, before 1805 – Google Art Project.jpg

c’est ici

Je n’ai fait que de modifier localement les tonalités de cette impressionnante gravure, et de rajouter le texte de la couverture.

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