“Hans Jacob est un jeune résistant qui s’oppose au régime de la RDA et aux exactions de la STASI. Parmi ses amis, il compte, bien sûr, sur quelques contacts de l’ambassade des USA. Mais quelle ne fut pas sa surprise quand ce furent ces derniers qui le kidnappèrent, et l’envoyèrent dans un centre expérimental de l’armée américaine pour y être traité comme un cobaye.
C’est que les militaires américains avaient vite compris que Hans avait des rapports particuliers avec des êtres de l’au-delà, des êtres aux capacités exceptionnelles.
Alors, pourquoi ne les “inviteraient”-ils pas à partager avec eux les secrets de leur puissance satanique ?… avec le concours de Hans, évidemment !
Quelle erreur !
L’Arme, est le sixième tome de la série CARROUSEL. Le cinquième livre, on s’en souvient, avait été marqué par une séparation douloureuse de nos deux héros. Cette fois, les retrouvailles entre Hans et sa Bête ne seront pas si faciles.“
À-propos de la série Carrousel, c’est ICI. Disponible en version Kindle et livre broché sur Amazon.
Dans l’épisode précédent (Sok-Chea) arrivait le moment notre héroïne se trouvait face au renoncement dans sa difficile quête du Graal. “L’Arme” en est l’accomplissement.
C’est là, qu’elle va faire le choix de poursuivre sa quête, ou bien d’y renoncer définitivement (dans ce dernier cas, la série s’arrêterait…) Vous devinez donc que, grâce à son ami, l’homme Hans, elle va décider de continuer son chemin.
J’ai pris beaucoup de temps à “L’Arme”
De la lecture, beaucoup de lecture pour enrichir d’autant mon propre texte. Dans l’Arme, il y a de la réflexion, des sentiments ; des personnages aux caractères tiraillés, maltraités par les faits et/ou le temps. Je ne pouvais pas me permettre de légèreté sur ces descriptions et ces paragraphes.
En particulier (en plus de la littérature “classique”) j’ai donc relu ce que j’avais de Clausewitz et René Girard : mimétisme et montée aux extrêmes vers la violence absolue… c’est qu’on parle bien d’arme !
Et puis, évidemment, quelques considérations philosophiques, morales voire religieuses, liées au crime, et à la destruction.
Bref, j’estime qu’avec l’Arme, mon style s’est favorablement enrichi. Merci aux auteurs qui m’ont précédé.
Eh oui, elle est sexy notre bête des enfers ! et je confesse volontiers que ça donne à la série une petite allure de roman à-la-SAS ! J’ai longtemps hésité mais, baste, pourquoi pas. Après tout, il y a du charme dans CARROUSEL, et puisque la Bête des enfers souhaite devenir plus humaine, ça passe aussi par ça !