“Dans une chambre d’hôpital, une jeune femme sort d’un profond coma qui l’avait pourtant laissée pour morte.
Cette jeune femme est la Bête du Diable, bien vivante, mais qui a tout perdu de son passé et du souvenir de l’humain qu’elle aimait.
À la recherche de sa personnalité, de son passé et des souvenirs contradictoires qui la tiraillent, entre son existence humaine de jeune fille bien tranquille et son passé de la Bête des enfers, elle va mener un combat pour ne pas sombrer dans la folie, et surtout, pour retrouver la trace de cet homme qui s’est sacrifié pour elle, et dont il ne lui reste que le prénom.
Satan s’est, sans rancune, débarrassé de sa gardienne devenue femme, mais rien n’est pour autant joué pour elle.”
Le Nom de la Bête est le dernier des CARROUSEL !
À-propos de la série Carrousel, c’est ICI. Disponible en version Kindle et livre broché. Le Nom de la Bête c’est ici
Je ne veux pas dévoiler le secret, elle va bien avoir un nom ! Elle, qu’on a toujours appelé “LA BÊTE” au cours de la série (Satan le lui a bien reproché) va s’appeler… non je ne dirai rien ! Mais de sa “renaissance”, c’est bien la seule chose qu’elle aura, en plus de ses vieux parents. Pour le reste, elle va tout devoir reconstruire.
Ce roman est une quête, celle d’une Bête enfin devenue femme, sauf qu’elle ne sait rien de son passé, ni même de ce qui fait d’elle une femme. C’est le point culminant de sa transformation. En plus de cette renaissance, elle est aussi confrontée à une quête, celle de cet homme dont elle n’a que le prénom et qu’elle va aller chercher coûte que coûte.
La couverture représente ses premiers pas dans un monde nouveau, comme une nouvelle naissance, une première “sortie de l’eau”.
Le nom de la Bête est le plus gros des tomes de Carrousel : 133 pages d’une littérature toujours plus riche. Oui, mon écriture et mon style se sont encore améliorés. J’ai beaucoup lu, rempli des carnets de notes dans le but d’analyser et comprendre comment d’autres auteurs ont fait pour leur roman. J’ai beaucoup travaillé mes descriptions, ainsi que les motivations des âmes.
Le scénario m’a aussi demandé beaucoup de travail, c’est l’aboutissement des 1500 pages et aventures diverses de toute la série Carrousel. Il devait être absolument limpide, sans la moindre contrefaçon, bref, il ne fallait pas le moindre faux pas ! et j’avoue que je n’en suis pas peu fier.
Allez… quelques pages les plus chaudes du roman (cliquez dessus pour une bonne lecture) :